jeudi 1 septembre 2016

7 decembre 2014 Roger

Jérusalem le sept décembre deux mil quatorze à huit heures quinze.

Le bonjour du dimanche.

AnneAnne,

Un bonjour pour essayer un nouveau récit.
Un rêve me réveille de façon naturelle à trois heures. Je me lève pour le noter. Les restes de ce rêve se transforment dans ma mémoire et dans mon écriture.
Je suis content du retour des rêves. La nouvelle pilule est peut-être responsable du renouveau de cette activité.
Ce rêve raconte ma marche dans une rue d'une ville (Paris, Jérusalem ?) avec une femme jusqu'alors inconnue. Au cours de notre conversation, j'apprends qu'elle a quatre vingt deux ans. Je la trouve jolie, jeune et très vivante.
Nous rencontrons quelques élèves proches d'André qui, comme nous, vont à un concert. Après avoir échangé salutations et nouvelles, nous nous séparons. Continuant notre chemin, cette femme dont je ne connaîtrai jamais le nom, me demande de l'attendre et entre dans un magasin. A sa sortie, nous marchons et sans mots, elle rentre dans un hôtel. Étonné, je la regarde monter les escaliers. Me regardant, elle me fit signe de monter et me fait rentrer dans sa chambre d'hôtel. Je vois beaucoup d'objets étranges et vieux. Je suis désorienté.
Le patron de l'hôtel, alors, entre avec une cliente pour faire visiter la chambre. Nous étions déjà dans la première chambre quand le patron de l’hôtel faisait visiter la chambre à côté de celle où nous étions. Sortant, la visiteuse s'arrête pour parler avec la femme que j'avais accompagnée. Une discussion assez longue. Je me suis réveillé.
Je me suis levé pour écrire ce rêve incompréhensible.
Un petit texte à t'envoyer en ce début de dimanche pour te souhaiter une bonne journée loin de tes douleurs.
Grandes amitiés, affections, peut-être un autre courriel.


Ychaï.  

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