Quatorze janvier deux mil quinze.
Neuf heures quarante.
Suite anecdotique.
AnneAnne,
Je t'écris, pour, avec le lien
d'amitié que nous entretenons.
Bien sûr, il y a derrière toute
écriture, le désir d'être lu.
Lu dans la manifestation visible et
le blanc silence de l'invisible, la part de l'inconnu en l'autre que je
respecte. Ce qui ne peut être écrit ou être dit.
L' « autre » est à la mode,
je l'utilise malgré tout, bien que, depuis un moment, je me garde de l'employer
pour garder à ce mot, une intensité et une clarté.
Peu à peu, je pense à raconter mes
voyages, les moments anecdotiques que je n'ai pas utilisés lors des précédentes
tentatives de rédaction. Je garde en mémoire tes conseils et l'idée de les
insérer dans les textes des précédents courriels.
Dans ma traversée de l'Europe, en
moto « Java » d'occasion, accompagné d'un élève, Serge, qui n' a
jamais su où étati (je bute régulièrement sur ce mot) étati (encore) était la
clé de contact servant à couper le moteur.
Je laisse mes fautes nonbreuses
nombreuses de frape frappe pour analyser les nouveaux effets du tamozonz
tramozone. Est-ce une manisfestation manifestation de ma fébrilité ou ou la
vitesse provoquée par une électrcité électricité intense entre de la communication
entre mes neurones.
Partant de Téhéran pour Shiraz
Persépolis où se tenait le festival de musique pour lequel j'avais fait ce
voyage. Mon enthousiasme pour la musique et pour Djamchid ayant provoqué ce
départ sans aucune réflexté éfexion fexionion réflexion. Comme beaucoup
d'ailleurs de mes comportements. Un enthousiasme vif.
Je paris parti de la capitale pour
traverser deux déserts. Entre ces deux déserts de oierre pierres et de petites
pousses, se trouvait une ville sacrée « Khom » où l'entrée de la posquée
mosquée la plus sacrée ét aat était interdite aux infidèles. Nous avons visité
ce lieu avec notre ignorance de cet interdit, en étant egardé regardés avec
curiosité curiosité interrogative sans animosité. Juste une simple visite, un
petit arrêt avant de contiuer continuer la route de ce premier désert et
arriver à la ville merveilleux de Ispahan, grande oasis entre ces déserts. Nous
avons dormi sur le toit d'un hôtel situé sur la grande place prinpak principale
de la ville.
Ce sont les les lits les moins chers
mais une vue imprena ble imprenble imprenable sur un ciel le plus beau, la nuit
la plus belle avec l'odeur des roses. Anat avant de nous coucher, nous nous
étions assis dans un café (thé) dans le jardin où les petites tables étaient
entourées de rosiers et de jasmins. Au milieu de ce jardinb jardin se trouvait
un pup ' ) iître pupitre devant lkequel lequel se tenat tenait debout un
conteur avec une canne.
Il racontait l'histoire des mille et
h une nuits avec une passion, une élocution très claire. Malgré l'imcomréension
imconpàré incompréhension totale de la langue persane, nous avions le sentiment
de tout comprendre.
Le lendemant lendemain, nous avons
repris la route traversant le deuxième désert menant à Shiraz.
Après une centaine de kilomètres, le
pneu arriré arrière se dégonfal dégonfla. J'entrepris la répartion réparation
de ce pneu. Je signale que je ne connais rien à la mécanique. J'arrivai non
sans peine à calfre)uter calfeutrer le trou, je remis la roue en place, puis je
repartis. Au bout de quelques mères mètres, la roue se dégonfla de nouveau et
je constatia constatai que je n'avais pas bien arragé arrengé arrangé les
rayons.
Je décidai de faire du stop pour
aller au p'r prochain village en esprérant espérant trouver un garagiste. Je
fus véhiculé par un camion qui me laissa dans ce village.
Je trouvai un garagiste ayant été suivé
suivi de tous les enfants du village.
Après laé la réparation, je fis
encore du stop pour retrouver mon compagnon de route, mort de peur et de soif.
Je remis la roue en palce place, puis nous sommes repartis.
Pour l'instant je ne souviens pas de
la suite de cette trafersée traveresée traversée du désert. Nous sommes arrvés
arrivés sans autres encombres.
Dix heures vingt.
La suite plus tard. L'arrivée à
Shiraz.
AnneAnne,
Je pense à tes yeux, à ta vue. Ne me
lis pas, ne te force pas à me lire. Cela pour attendre. Vérifie seulement
l'arrivée du courriel.
Porte toi bien, le meius mieux
possible.
Mes souhaitsd souhaits et mes pensées
sont toujours, de plus en plus chaleureuses, amicales, blances vblanges
blanches et rouges. Rouge comme Roger.
Ychhaî Ychaî ï
P.S.
Je ne corrige pas ni avec le
correcteur ni avec rien.
Roger Bénichou-YchaÏ
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