mardi 6 septembre 2016

14 janvier 2015 Roger

Quatorze janvier deux mil quinze. Neuf heures quarante.
Suite anecdotique.

AnneAnne,
Je t'écris, pour, avec le lien d'amitié que nous entretenons.
Bien sûr, il y a derrière toute écriture, le désir d'être lu.
Lu dans la manifestation visible et le blanc silence de l'invisible, la part de l'inconnu en l'autre que je respecte. Ce qui ne peut être écrit ou être dit.
L' « autre » est à la mode, je l'utilise malgré tout, bien que, depuis un moment, je me garde de l'employer pour garder à ce mot, une intensité et une clarté.
Peu à peu, je pense à raconter mes voyages, les moments anecdotiques que je n'ai pas utilisés lors des précédentes tentatives de rédaction. Je garde en mémoire tes conseils et l'idée de les insérer dans les textes des précédents courriels.
Dans ma traversée de l'Europe, en moto « Java » d'occasion, accompagné d'un élève, Serge, qui n' a jamais su où étati (je bute régulièrement sur ce mot) étati (encore) était la clé de contact servant à couper le moteur.
Je laisse mes fautes nonbreuses nombreuses de frape frappe pour analyser les nouveaux effets du tamozonz tramozone. Est-ce une manisfestation manifestation de ma fébrilité ou ou la vitesse provoquée par une électrcité électricité intense entre de la communication entre mes neurones.
Partant de Téhéran pour Shiraz Persépolis où se tenait le festival de musique pour lequel j'avais fait ce voyage. Mon enthousiasme pour la musique et pour Djamchid ayant provoqué ce départ sans aucune réflexté éfexion fexionion réflexion. Comme beaucoup d'ailleurs de mes comportements. Un enthousiasme vif.
Je paris parti de la capitale pour traverser deux déserts. Entre ces deux déserts de oierre pierres et de petites pousses, se trouvait une ville sacrée « Khom » où l'entrée de la posquée mosquée la plus sacrée ét aat était interdite aux infidèles. Nous avons visité ce lieu avec notre ignorance de cet interdit, en étant egardé regardés avec curiosité curiosité interrogative sans animosité. Juste une simple visite, un petit arrêt avant de contiuer continuer la route de ce premier désert et arriver à la ville merveilleux de Ispahan, grande oasis entre ces déserts. Nous avons dormi sur le toit d'un hôtel situé sur la grande place prinpak principale de la ville.
Ce sont les les lits les moins chers mais une vue imprena ble imprenble imprenable sur un ciel le plus beau, la nuit la plus belle avec l'odeur des roses. Anat avant de nous coucher, nous nous étions assis dans un café (thé) dans le jardin où les petites tables étaient entourées de rosiers et de jasmins. Au milieu de ce jardinb jardin se trouvait un pup ' ) iître pupitre devant lkequel lequel se tenat tenait debout un conteur avec une canne.
Il racontait l'histoire des mille et h une nuits avec une passion, une élocution très claire. Malgré l'imcomréension imconpàré incompréhension totale de la langue persane, nous avions le sentiment de tout comprendre.
Le lendemant lendemain, nous avons repris la route traversant le deuxième désert menant à Shiraz.
Après une centaine de kilomètres, le pneu arriré arrière se dégonfal dégonfla. J'entrepris la répartion réparation de ce pneu. Je signale que je ne connais rien à la mécanique. J'arrivai non sans peine à calfre)uter calfeutrer le trou, je remis la roue en place, puis je repartis. Au bout de quelques mères mètres, la roue se dégonfla de nouveau et je constatia constatai que je n'avais pas bien arragé arrengé arrangé les rayons.
Je décidai de faire du stop pour aller au p'r prochain village en esprérant espérant trouver un garagiste. Je fus véhiculé par un camion qui me laissa dans ce village.
Je trouvai un garagiste ayant été suivé suivi de tous les enfants du village.
Après laé la réparation, je fis encore du stop pour retrouver mon compagnon de route, mort de peur et de soif. Je remis la roue en palce place, puis nous sommes repartis.
Pour l'instant je ne souviens pas de la suite de cette trafersée traveresée traversée du désert. Nous sommes arrvés arrivés sans autres encombres.
Dix heures vingt.
La suite plus tard. L'arrivée à Shiraz.
AnneAnne,
Je pense à tes yeux, à ta vue. Ne me lis pas, ne te force pas à me lire. Cela pour attendre. Vérifie seulement l'arrivée du courriel.
Porte toi bien, le meius mieux possible.
Mes souhaitsd souhaits et mes pensées sont toujours, de plus en plus chaleureuses, amicales, blances vblanges blanches et rouges. Rouge comme Roger.
Ychhaî Ychaî ï
P.S.
Je ne corrige pas ni avec le correcteur ni avec rien.


Roger Bénichou-YchaÏ


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