Courriel original
A midi, je vais
écouterLouis. Il doit joker Le mois pro hairs in concerto pour alto et
orchestra.
Je ne l' ai
pas entendu depuis longtemps et je suis content qu' il est eu cette
possibilité. Il est professeur et a été absorbé ces drenières années à con
sacred du temps pour faire vivre sa famille, une famille de quatre enfants.
Il me reste
quatre nuits que je dois passer chez lui. Je serai' arid
Jedormirai mardi
soir chez lui jusqu'à mon départ vendredi matin àMarseille.
Je me
demande si tu n'es pas fatiguing de lire mes tribulations ici.
Je marche
dans les rues toute l journée et ne rentrée que Le soir chez ma tante ne
voulang pas trop la prepubertal par ' prèsence pour ne ps genre ses habit ides.
J'arrive á la faire rire de temps en temps pour faire cesser ses plaintes et
son angoisses .
Je comptd
Les jours de mon départ et j' fair ''errer d'avoir erreur d'avoir pensé à un
séjour si long.
D'habitude,
je sais que trios jours est la limite sop portable pour moi et pour lea
hotes.j'ai appris et je sens que après ce lps de temps, Les hotes et moi-même
resent ones une gène.
J'ai aussi
Envie de reprendre Le fil de mes histories et da reflextion, ayant l'impréssion
d'être plus Clair la bas. Serai-ce qu'une impression.?
À bientôt.
Je vais am archer pour aller à mon rendez-vous.
Je pense à
toi ave. souhaits et amitiés.
Ychaï
Correction du 22
février 2016
Je suis allé écouter
Louis vers midi. Il doit créer le mois prochain un concerto pour alto et
orchestre.
Je ne l'ai
pas entendu depuis longtemps. Je suis content qu'il ait eu cette possibilité de
rejouer en public.
Il est
professeur, il a été absorbé ces dernières années à consacrer du temps pour
faire vivre sa famille, une famille de quatre enfants.
Il me reste
quatre nuits à passer en France.
Je dormirai mardi
soir chez Louis jusqu'à mon départ vendredi matin à Marseille.
Je me demande
si tu n'es pas fatiguée de lire mes tribulations françaises.
Je marche
dans les rues toute la journée, ne rentre que le soir chez ma tante, ne voulant
pas trop la perturber par ma présence et ne pas gêner ses habitudes. J'arrive à
la faire rire de temps en temps et faire cesser ses plaintes et ses angoisses.
Je compte les
jours restant avant mon départ et pense avoir fait une erreur en organisant un
séjour si long.
J’ai appris
avec l'habitude de ne pas imposer ma présence plus de trois jours. Cette durée
est la plus supportable pour moi et pour les hôtes. Ce court laps de temps
évite la gêne et le désagrément.
Une grande
envie de continuer à écrire le fil de mes histoires. Il me semble qu’en Israël,
je réfléchis mieux et je suis plus clair. Serait-ce qu'une impression ?
À bientôt,
je vais marcher pour aller à mon rendez-vous.
Je pense à
toi, avec souhaits et amitiés.
Ychaï
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Roger Bénichou-Ychai