AnneAnne,
Tous les
jours, je pense à toi.
Je pense à
écrire. Je ne le fais pas, non pas parce que je ne veux pas, mais parce que je
suis préoccupé.
J’écoute
beaucoup les conférences du Collège de France pour m'aider à sortir de ces
préoccupations.
Je me pose
des questions à propos de ton absence d'écriture, et de ta santé.
Je
t'embrasse très amicalement.
Ychaï
Roger Bénichou-YchaÏ
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