Quatre mars deux
mil quinze.
Le tramozil me met
à côté de moi-même.
AnneAnne,
Je n'ai pas écrit
depuis plus d'une semaine. Je dors plus et plus longtemps.
Je me demande la
raison de ton silence.
Passent dans ma
tête, des raisonnements divers :
Est-ce que tu
n'ouvres plus ton ordinateur ?
Est-ce que tes yeux
sont plus fatigués et ne te permettent pas de regarder ta machine ?
Est-ce que tu es
malade?
Est-ce un mes
courriels qui t'a déplu ?
Je n'arrive plus à
me rappeler les autres raisonnements.
Je te souhaite une
bonne santé très vite.
J'ai d'autres
histoires qui roulent à l’intérieur.
Dés que je serai un
peu mieux, je resterai sur mon tabouret le temps nécessaire pour écrire mes
histoires.
Reçois mon amitié,
chaleureuse malgré la neige qui a duré trois jours et nuits.
Ychaï…
Roger Bénichou-Ychaï
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